lundi 20 décembre 2010

MOMENT DE PARTAGE AVEC ROBERT POINARD, VICAIRE GENERAL AUX ARMEES


Nos racines bannies de la sphère publique

Lentement mais sûrement le judéo-christianisme se fait balayer vers la porte de sortie. Oh bien sûr il ne s’agit pas d’une franche persécution bien tranchante et bien sanglante comme nos pères en connurent sous d’autres cieux en d’autres temps mais enfin, qu’on le veuille ou non, on nous prie de disparaître vers les arrière-cuisines en nous demandant de n’en plus bouger. Années après années le bannissement se fait de plus en plus pressant.

Les crèches disparaissent de l’espace public sous le prétexte qu’elles blessent le regard du non chrétien : les santons sont jugés indésirables sur les places des villes et même des villages. Je lis dans « La Croix » du mercredi 18 décembre que le tribunal administratif d’Amiens a annulé une décision du conseil municipal de Montiers (Oise) qui avait décidé l’installation de la traditionnelle crèche de Noël sur la place du village. Motif ? La loi dispose qu’après 1905 on ne peut plus apposer de symbole religieux dans l’espace public hormis sur les édifices du culte.
L’avocat a eu beau argumenter qu’on était ici bien plus dans la sphère culturelle que dans le religieux, rien n’y a fait. Le juge administratif semble ignorer que même dans les familles non catholiques - voire même non croyantes - on trouve souvent des crèches au pied du sapin parce que cela fait partie des symboles de Noël et que cette fête est devenue elle-même au fil des siècles une fête de la famille, quelles que soient les convictions religieuses des uns et des autres. Le plus beau c’est que le recours en justice avait été introduit par une personne qui n’habite même plus le village et qui déclare, quand on l’interroge « qu’il y a des sujets bien plus importants ».
Eh bien je ne suis pas de cet avis. Ceci me semble non seulement important mais symptomatique et je n’en veux pour preuve qu’une autre affaire. Depuis des mois le journal gratuit « 20 minutes » avait prévu un supplément pour la fête de l’Immaculée Conception qui est dans le diocèse de Lyon l’occasion de rendre un hommage à la Vierge Marie en posant des lumignons sur le rebord des fenêtres le soir du 8 décembre. Ma famille s’est prêtée à ce rite durant toute mon enfance… Mais le journal a finalement décidé de ne pas publier son supplément parce que la prière de la Salutation Evangélique risquait de choquer ses lecteurs...
Comme nous le répète souvent Mgr Ravel, notre évêque, nous sommes entrés depuis quelques années dans un régime de laïcité qui ignore ou gomme tout ce qui est religieux. Et comme le dit Jean-Pierre Denis, le rédacteur en chef de « La Vie » : « Le christianisme n’est pas violemment éjecté de la sphère publique mais tranquillement banni de tous les espaces de la mémoire collective, de tout notre inconscient culturel. Nous vivons une entreprise de reniement paisible, insidieux, et politiquement correct en diable. »
Les idéologues pervers qui promeuvent une telle laïcité de renoncement, de déni et de nettoyage par le vide montrent par là leur ignorance crasse de la nature humaine et font le lit de futures guerres civiles. Tout d’abord la population française issue de l’immigration, comme tous les étrangers vivant dans notre pays, assimilent ce rejet du religieux à un refus de Dieu et renforcent encore le mépris profond dans lequel ils tiennent l’occident, terre d’athéisme. Et cela justifie encore davantage toutes les formes de « guerres saintes » qui se livrent sur notre sol contre une Europe devenue terre païenne d’où Dieu est banni.
Voilà comment nous fournissons avec la plus grande complaisance les bâtons qui nous rosseront et les bombes qui nous frapperont ! L’Europe, dans un masochisme irrationnel et suicidaire, refuse de reconnaître ses racines judéo-chrétiennes. Sa fin est donc inéluctable car, c’est une certitude, ceux qui renient leurs racines sont sans avenir.

Robert POINARD

jeudi 2 décembre 2010

CCVE, REOMi : COMMUNIQUE DE MONSIEUR ROBERT COQUIDE MAIRE ECHARCON

Histoire d’un désastre préviSIBLE

ou

exemple à ne pas suivre

R. Coquidé, 26 novembre 2010-11-26

Pour expliquer mon vote « contre » la présentation de la « REOM i », j’ai dit, en public, lors de la réunion du Conseil Communautaire de la CCVE du 19 octobre 2010 :

« Avec la REOMi telle qu’elle est présentée, nous fonçons droit dans le mur, tous phares allumés ».

J’aurais du ajouter, en plus, que le Président accélère en klaxonnant à qui veut l’entendre : « Je serai le PREMIER à instituer cette REOMi dans le Département ! ».

Il est vrai que j’ai fait une erreur de pronostic : j’estimais que le choc se produirait en mai-juin 2011… le temps pour les populations de comprendre l’ampleur de cette absurdité. J’ai donc pêché par excès de… modération !

Le Président a crié (ou plutôt hurlé !) mercredi 24 novembre à la réunion publique de Mennecy, en articulant distinctement dans un micro : « La REOMi est reportée d’un an, au 1er janvier 2012 ! ». Rappelons qu’il nous a déjà dit (sur un ton plus mesuré !) en juin 2009 : « La REOMi est reportée au 1er janvier 2011 »,… car il visait, à l’époque, le 1er janvier 2010.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, (et les mêmes âneries produisant les mêmes catastrophes !), il convient aujourd’hui de faire le point sur ce qu’il faut appeler : « un fiasco prévisible et prévu » et faire la liste des actions qui y ont conduit… et qu’il faudra éviter soigneusement… à l’avenir.

I ) Critiques méthodologiques

A ) La DGF (Dotation Globale de Fonctionnement)

D’après la « loi Chevènement » (12 juillet 1999), l’Intercommunalité a comme premier objectif d’optimiser les services aux habitants en qualité et en coût.

Pour cela,

- la DGF a fortement diminué pour les communes, et a été amplifiée pour les communautés.

- Chaque compétence transférée par les communes à la communauté, fait augmenter la DGF de celle-ci (via l’augmentation automatique du CIF – Coefficient d’Intégration Fiscale).

- Cette DGF est conçue pour « aider » les communautés à gérer au mieux pour les habitants les compétences transférées.

En refusant d’utiliser une partie notable de la DGF pour gérer les OM, la CCVE, son président et son grand argentier commettent un détournement de l’objectif de cette DGF.

B ) Institution de la REOM « i »

Il y avait la possibilité d’utiliser, pendant les réflexions, les compétences techniques, réglementaires, juridiques de membres d’associations de protection de l’environnement dans des réunions de travail et d’études avec des élus. Certains de ces membres ont participé pendant 3 ans à la rédaction du PREDMA (bible de l’élimination des déchets dans l’Ile de France).

Le Président a insisté personnellement pour se priver de ces compétences reconnues. Il sait tout, probablement !

C ) Nous serons les « PREM » à instituer la REOM « i »

Ce sont les propos du Président ! De fait, je crois qu’il n’y a toujours pas d’autres communautés qui l’ont instaurée en Île de France… ou tout au moins dans le Département de l’Essonne.

Questions : Pourquoi ? Les autres communautés sont-elles, à ce point, inconscientes de ses bienfaits ? Ou bien, y a-t-il d’autres raisons ? Des difficultés de mise en œuvre ? N’était-il pas judicieux d’affiner les études et réflexions… d’éviter les précipitations… de multiplier les concertations publiques… non pour asséner des « vérités » venant d’en haut (en orchestrant la « com » !), mais pour tenir compte des diversités de questions et problèmes induits ?

Oui mais… il a failli gagner : il est passé très près d’être le « PREM » !

D ) Connaîtrons-nous un jour le coût total de ce gâchis : embauche d’une personne dans le but officiel d’établir la redevance spéciale pour les professionnels (laquelle n’a jamais vu le jour), bureau d’étude, puçage des bacs, emprunt de 200 000 € improvisé en catastrophe….

II ) CRITIQUES DES Détails pratiques

A ) REOM « i » (comme incitative) ou REOM « d » (comme dissuasive) ?

Avec 60 % de part fixe et 40 % de part variable elle n’a rien d’incitatif !

Le bon geste de tri ne sera pas suffisamment payant.

B ) Taille des bacs

En refusant les bacs de contenance inférieure à 120 litres, on condamne les personnes seules soit :

- à présenter au prix fort ( !?!?!) leur bac quasi vide.

- à attendre de nombreuses semaines… qu’il soit plein … avant de le présenter ( !?!?!).

- à utiliser des sacs d’OM… pour la plus grande joie des animaux errants (!?!?!) .

Il est vrai que ce sont les communes qui nettoient les trottoirs… et non la CCVE !

C ) Les sacs de déchets verts à 1,5 € (15 € pour 10 sacs ! 22,5 € pour 15 sacs !) … méritent le qualificatif de « dissuasifs ».

D ) Le refus de collecter les fagots ! Sans commentaire tant cette absurdité saute aux yeux.

E ) Les « RDV Encombrants » à 10 € l’unité : risques de décharges sauvages !

F ) Les Mairies vendant les sacs en papier de déchets verts au profit de la CCVE

- le sale boulot pour les communes, lesquelles devront utiliser leurs moyens, leurs personnels… et essuyer les récriminations des habitants.

- la recette pour la CCVE.

- les Communes devant probablement créer (et payer !) une régie de recettes pour encaissement.

G ) Les décharges sauvages générées par cette REOM « i » nettoyées par les communes.

Celles-ci devront tenir à disposition du personnel, un historique et une comptabilité… la CCVE remboursant les communes (!?!?!)… sur la base d’une somme totale globale fixe… suivant une répartition non explicitée….

H ) Incitation des habitants à multiplier leurs trajets vers une déchetterie.

C’est « tout bénef » pour la CCVE !

Question : du point de vue du CO2, vaut-il mieux 1 camion transportant des déchets… ou une file… ininterrompue… de véhicules convergeant vers une déchetterie ?

I ) Les feux de déchets verts (ou d’autres couleurs…) dans les jardins risquent de redémarrer… comme à une époque… que, enfin, nous croyions tous révolue.

III ) Remarques

Il y a un an, pour faire voter le principe de la REOM, il a été promis (!?!?!) en juin 2009 par P. Imbert de réexaminer en 2010 le ratio « 40 % variable, 60 % fixe ». Promesse non tenue : cela n’a jamais été réexaminé pendant cette dernière année : « il » s’y est toujours opposé !

Les habitants grognent de plus en plus fort en lisant la « prose OM » du Président (avec sa photo !), car ils font leurs comptes. « Il » croyait probablement que la « com » ferait tout passer !

Evidemment ce sont les Maires qui sont en première ligne et essuient les critiques depuis plusieurs semaines.

Mais Patrick Imbert, Président, était content : « IL pensait être LE PREM ! » en Essonne.

Cette REOM « i » aura donc faillit faire au moins un heureux ! Ce n’est même pas le cas !

IV ) Conclusion

Ce n’est la qu’une liste, probablement non exhaustive, des âneries à ne pas renouveler.

Ce n’est pas le principe de la REOMi qui est critiquable en soi, mais sa mise en œuvre qui nécessite beaucoup de doigté et l’exclusion de tout amateurisme et de toute improvisation.

Pour l’avenir, toute future tentative d’institution d’une REOMi devra être un modèle de « pédagogie » et de « concertation », à ne pas confondre avec la « com » ou la « pub ».

R.Coquidé

Maire d’Echarcon


vendredi 26 novembre 2010

RENCONTRE AVEC JEAN-PHILIPPE DUGOIN-CLEMENT


Invité d'Essonne info et Radio Plus sur le sujet de la REOMi


Jean-Philippe Dugoin-Clément, adjoint au Maire (Parti Radical ) de Mennecy et premier vice-Président de la Communauté de communes du Val d’Essonne, a répondu aux questions d’Essonne Info et Radio Plus.

jeudi 25 novembre 2010

CCVE, DENOUEMENT SUR LA REOMi HIER SOIR A MENNECY

Grace à la forte mobilisation des Elus de Mennecy, d'Itteville, d'Auvernaux et d'Echarcon

http://agirensemble.over-blog.com/article-ccve-les-elus-de-mennecy-deffendent-nos-interets-61353357.html

La CCVE renonce à la tarification de la REOMi

le Président de la CCVE, Patrick Imbert, devant la forte mobilisation des habitants de la région, a accepté, hier soir à Mennecy de suspendre la mise en place de la REOMi.

  1. La REOMi va faire l’objet d’un moratoire et ne sera donc pas appliquée au 1er janvier prochain. En 2011, rien ne changera donc concernant votre facture d’ordures ménagères.
  2. L’année 2011 verra la mise en place d’une tarification “à blanc” afin de voir ce que donnerait vraiment ce dispositif, de mesurer si il est applicable ou non.
  3. Ce dispositif ne sera pas appliqué automatiquement en 2012. Il ne sera mis en place que si il fait l’objet d’une adhésion des habitants qui seront consultés et surtout, si il devait être proposé de nouveaux aux votes des élus de la CCVE, ce serait avec des modalités et des tarifs complètement différents de ceux qui avaient été annoncés ces derniers jours.

vendredi 19 novembre 2010

CCVE PAGAILLE ENTRE LES ELUS


REOMi reunion exeptionnel du bureau aujourd'hui vendredi 19 novembre à la communauté de communes du Val d'Essonne.

vendredi 12 novembre 2010

mardi 9 novembre 2010

HOMMAGE DE LA NATION AU GENERAL DE GAULLE



Hommage au Général de Gaulle à l'occasion du 40ème anniversaire de sa disparition par le Président de la république Française


http://www.elysee.fr/president/mediatheque/videos/videotheque.10.html



jeudi 7 octobre 2010

JOURNEES DE PREVENTIONS ET SECURITE JEUNESSE A MENNECY


Alcool-Drogues-Sécurité routière-Jeux dangeureux

2 èmes Journées de Prévention et Sécurité Jeunesse

12-14-15-16 octobre 2010 à Mennecy au Parc de Villeroy


En octobre 2009, Xavier Dugoin Maire de Mennecy et Romain Bossard Adjoint au Maire ont eu le plaisir d'organiser les premières journées prévention à destination de la jeunesse.

Cette manifestation fut un succès : 5000 scolaires ciblés, 1000 collégiens recus les jeudis et vendredis, le samedi ouvert à tous les administrés de la CCVE. Des institutions, sociétés et associations mobilisées activement afin d'animer tous les stands pendant ces 3 jours.

Cette année, les classes de CM2 seront associées avec une journée qui leur sera réservée. Les jeux dangeureux dans les cours scolaires seront évoqués et le permis piéton sera proposé par la Préfecture de l'Essonne.

Notre Président de la République, impulse une politique volontariste dans ce domaine. Nous ne sommes d'ailleurs pas sans connaître l'intérêt que porte aussi le Député de la 2ème circonscription de l'Essonne, Franck Marlin, qui soutient cet évènement à portée départementale.
Rendez vous le samedi 16 octobre 2010 "au Parc de Villeroy à Mennecy" nombreux et avec vos enfants ouvert de 10h00 à 18h00.

lundi 4 octobre 2010

LAURENCE BUDELOT BIENTÔT MAIRE DE VERT-LE-PETIT


La liste “Renouveau Vertois” conduite par Laurence Budelot rafle 100 % des sièges du Conseil Municipal de Vert-le-Petit.
Ce résultat marque avant tout la fin d’une période de près de 3 années qui a vu cette commune du canton de Mennecy "CCVE" paralysée par la rupture entre son Maire et sa majorité.
Il marque également un grand changement dans le paysage politique de l'Essonne, la perte pour la gauche d’une commune qui fut bien longtemps considérée comme un de ses traditionnels “bastion”.
L’élection de Laurence Budelot en tant que Maire aura lieu le samedi 9 octobre 2010.
Résultats :
Participation : 59,74 %
Laurence Budelot : 55,23 %
Luc Borg : 24,69 %
Laurence Génin : 17,05 %
Christian Thuillier : 6,69 %
Historique du dossier

samedi 18 septembre 2010

CRISE SECURITAIRE AU SEIN DE LA CCVE " Communauté de communes du Val d'Essonne "



Le village veut louer la police de Mennecy


Quand les moyens manquent, il faut avoir des idées. Avec son budget serré, Echarcon, 700 habitants, n’a pas l’argent nécessaire pour mettre en place une police municipale. Qu’à cela ne tienne, le village s’est associé avec son voisin, Mennecy, pour que celui-ci lui envoie sa propre police. Il ne reste plus que le feu vert de la préfecture et du parquet pour que cette « mutualisation » — une première en Essonne — soit effective.


Robert Coquidé, le maire (sans étiquette) d’Echarcon, a sorti sa calculette. Un policier municipal coûte entre 35000 € et 40000 € par an. Il y a le salaire, mais aussi les charges, le matériel, l’uniforme, les formations… Sans oublier que, pour qu’un tel service tourne correctement, il faut plusieurs agents. « Nous n’avons pas les moyens », bondit le maire, qui pourtant aurait parfois besoin de forces de l’ordre. « La plupart du temps, un policier s’ennuierait, reconnaît Robert Coquidé. Mais parfois, on a des petits problèmes comme des jeunes qui mettent la musique à fond dans leur voiture. »

Le projet validé par les conseils municipaux

Aujourd’hui, Mennecy propose de « mutualiser » sa police avec Echarcon. Les deux communes ont d’ailleurs déjà approuvé le projet en conseil municipal. Contre 21000 € par an, Echarcon bénéficierait d’un véhicule de patrouille avec deux agents pendant une heure en moyenne chaque jour. En cas de coups durs ou de grands événements, le village pourrait compter sur davantage de policiers. « Cela ne se fait pas contre la gendarmerie, mais en accord avec elle. Les gendarmes ne peuvent pas toujours être là », précise Echarcon.
A Mennecy, où on compte 9 policiers pour 13600 habitants, la municipalité ne voit que des avantages au projet. « Notre priorité, c’est de ne pas diminuer la prestation pour les habitants de Mennecy, rappelle Romain Bossard, l’adjoint à la sécurité. Mais par cette mutualisation, nous allons récupérer de l’argent qui va permettre d’embaucher, d’investir dans du nouveau matériel… » Cet accord permet encore d’échanger des informations. « La délinquance est itinérante et intercommunale », estime Romain Bossard.
Le dossier a été déposé à la préfecture de l’Essonne et au parquet du tribunal d’Evry avant les vacances. Il ne manque plus que leurs signatures pour que la mutualisation se mette en place. Et elle pourrait faire tache d’huile. Mennecy a déjà proposé cette solution aux autres villages voisins : Ormoy, Fontenay-le-Vicomte et Chevannes.

Lu pour vous dans le Parisien article Benjamin Jérôme

vendredi 17 septembre 2010

UN AVIS QUE JE PARTAGE


NICOLAS DUPONT-AIGNAN

LETTRE OUVERTE A MADAME REDING, COMMISSAIRE EUROPEEN

Madame Reding,

Cette fois-ci, la Commission européenne dont vous êtes l’exécutante a dépassé toutes les bornes. En effet, en laissant l’un de ses commissaires comparer la France à l’Allemagne nazie, elle vient de franchir un pas supplémentaire dans l’indignité.

Car qui êtes-vous Madame Reding pour vous permettre de donner des leçons à la France ? D’où tirez-vous votre légitimité ? Par qui avez-vous été élue ?

Pas par le peuple français en tout cas !

Alors oui, bien sûr, la circulaire d’Hortefeux est absolument intolérable puisqu’elle stigmatise une population là où seule l’application de la loi républicaine devrait être en cause. Cependant rassurez-vous, mes compatriotes sont tout à fait capables par eux-mêmes de régler cette affaire. Même si bien entendu, les cris d’orfraie de la gauche rendent grandement service au Président : ils donnent l’impression qu’il agit alors qu’il ne fait que payer des Roms comme de malheureux figurants qui reviendront quelques semaines plus tard sur notre sol.

Mais qui a créé les conditions de la libre circulation des personnes comme des capitaux ? Qui a créé les conditions de cette anarchie et donc les risques d’amalgame et de stigmatisation ? Qui a favorisé l’immigration intra-communautaire pour le plus grand bénéfice d’un certain patronat qui peut ainsi user et abuser d’une main-d’œuvre bon marché ?

De la même façon que votre collègue Madame le commissaire Kroes déclarait vouloir encourager les délocalisations, votre Union Européenne a pour objectif avoué le nivellement par le bas vers le moins disant social. Car en ouvrant toutes les frontières, vous mettez forcément en danger le modèle social des pays les plus avancés. Vous mettez nécessairement en péril les acquis et les droits des plus pauvres, puisque vous les placez en concurrence directe avec encore plus pauvres qu’eux.

En voulant accélérer l’élargissement, vous n’avez pas voulu entendre tous ceux qui vous avaient alerté sur les dangers des migrations de population. Les Roms de Roumanie et de Bulgarie en sont aujourd’hui les premières victimes.

Je suis aujourd’hui le seul au Parlement français à prôner ouvertement le rétablissement des frontières nationales. Le seul.

Or, une frontière, ce n’est pas le repli sur soi. Qui oserait traiter son voisin de palier de raciste au prétexte qu’il ferme sa porte à clé en partant travailler ?
En fait, une frontière c’est comme la peau : ça protège mais ça laisse passer tout ce dont l’organisme a besoin. C’est une protection mais également un lien vers l’extérieur !

En voulant par dogmatisme supprimer toutes les frontières sans d’ailleurs les remplacer par une frontière européenne, vous avez écorché vif nos nations.

Aujourd’hui, alors que le peuple souffre, l’alternative est simple : l’entente, la concorde et la coopération de peuples libres de disposer d’eux-mêmes ou bien le mépris des peuples, la destruction des nations et l’impuissance publique des Etats.

Alors oui, Madame Reding, ça suffit ! La France n’a pas d’ordre à recevoir de Bruxelles, et encore moins d’excuses à formuler.

Car si le gouvernement Sarkozy et le Parlement français ont ratifié le traité de Lisbonne, le peuple français, lui, l’a clairement rejeté par référendum !

Madame Reding, vous êtes illégitime et comme élu d’une Nation qui a rejeté par référendum le traité constitutionnel, je ne vous reconnais pas et je ne vous reconnaîtrai jamais.

Rassurez-vous, je ne manquerai pas d’expliquer à Messieurs Hortefeux et Besson en quoi leur circulaire n’est pas digne de la République, mais de grâce, vous qui êtes Luxembourgeoise, concentrez-vous sur votre Grand-Duché et n’essayez pas d’imposer par la force votre mondialisme à des pays qui n’ont aucune leçon à recevoir venant d’un ancien député d’un paradis fiscal.

Madame Reding, vous ne le savez sûrement pas, mais il est écrit à l’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen que la résistance à l’oppression est un droit naturel et imprescriptible.

Souffrez donc que je respecte la Constitution de mon pays et que je résiste à une Commission totalitaire qui tance les ministres de mon pays comme des petits garçons désobéissants. Et si je regrette que les petits garçons en question préfèrent vous répondre qu’ils ont respecté vos règlements et vos lois, permettez-moi en tant qu’élu de vous répondre que vos directives et vos instructions n’ont aucune légitimité.

Je suis tout aussi européen que vous, et vous ne me culpabiliserez pas. En construisant l’Europe ainsi, vous dénaturez totalement l’idée européenne de réconciliation entre les peuples et de progrès social pour tous.

C’est pourquoi, Madame, jamais ne flottera le drapeau de cette mauvaise Europe là sur le fronton de ma Mairie, et je préfère largement y mettre celui de toutes les autres nations libres du monde.

Prenez d’abord le risque de soumettre vos décisions au suffrage des peuples européens, et après - seulement après - on en reparlera.

Nicolas DUPONT-AIGNAN

jeudi 29 juillet 2010

LES VERTOIS AUX URNES EN SEPTEMBRE 2010



Le conseil des ministres a dissout le conseil municipal de Vert-le-Petit.

Les nouvelles élections seront organisées dans les deux mois, quatre listes se préparent... a suivre !

mercredi 21 juillet 2010

VERT-LE-GRAND AVIS SUR LE PROJET D'ADHESION DE 5 NOUVELLES COMMUNES : 29 sept 2007

peu, de liens avec la population de Vert-le-Grand.

Déclaration du Bureau Municipal de Vert-le-Grand

réuni le 29 septembre 2007

sur le projet d’adhésion de 5 nouvelles communes

à la Communauté de communes du Val d’Essonne

La commune de Vert-le-Grand, considère en outre que l'élargissement de la communauté de communes par l'adhésion de 5 communes du sud entraînerait un déséquilibre géographique inacceptable pour elle.

Elle rappelle que la finalité de la communauté de communes n'est pas d’être un simple outil de développement économique – auquel elle contribue déjà largement - mais qu'elle a également une finalité humaine, celle d’être une communauté d'hommes et de femmes unis par des liens communs et constate que les communes candidates n'ont pas, ou peu, de liens avec la population de Vert-le-Grand.

Elle constate également que le dossier de candidature de ces communes ne témoigne pas de façon évidente d'une volonté réelle d'adhérer aux objectifs de la communauté de communes.

La commune de Vert-le-Grand rappelle enfin son refus de se voir cantonnée au seul rôle de pourvoyeur de ressources au détriment de son environnement, de ses paysages et de son cadre vie.

Pour ces raisons, elle émet des doutes sérieux quant à l'intérêt pour la communauté de communes d'accueillir ces nouvelles communes et s'oppose fermement à ce que le projet de délibération relatif à ce point soit soumis au conseil communautaire du 16 octobre 2007 ou aux suivants, jusqu'à la date des élections municipales.

Pour le Bureau Municipal de Vert-le-Grand

Stéphane HUET maire adjoint

LE DESTIN INTERCOMMUNAL D'ECHARCON

Il y a quelques jours, nous vous parlions de la demande de la commune d’Echarcon d’entrer dans l’agglomération d’Evry, en quittant par la même occasion la communauté de communes du Val d’Essonne (voir l’article). Afin d’aller plus loin dans la compréhension des enjeux d’un village comme celui d’Echarcon, Essonne Info s’est rendu dans la commune et a rencontré son maire, Robert Coquidé. L’occasion de discuter des tenants et aboutissants des intercommunalités, et de comprendre le cheminement d’un village typique de l’Essonne.

Il faisait un grand soleil, ce mardi 13 juillet. Rendez-vous était fixé avec Robert Coquidé en mairie d’Echarcon. Echarcon est un charmant village situé au sud de Lisses, avec pour voisins Villabé, Mennecy à l’est, Vert-le-Grand et Vert-le-Petit à l’ouest. Surplombant la vallée de l’Essonne et ses marais, le village se tourne du côté des grands espaces céréaliers du coeur de l’Essonne. A l’entrée de la mairie, un panneau annonce une coupure estivale dans la livraison de pain quotidienne. Echarcon ne possède en effet pas de commerce de proximité. C’est donc une boulangerie de Vert-le-Petit qui livre ici tous les matins aux employés municipaux, ce qui transforme la mairie en dépôt de pain. Ce fait résume quelque peu la situation d’Echarcon, telle que nous la livre son maire. Il s’agit d’une ville dortoir. Les habitants travaillent bien souvent à Evry ou dans les alentours, et le village ne possède pas vraiment d’activités. Or, c’est cette activité qui est vitale aux finances de toute commune. Faire venir des entreprises, ce qui rapporte de l’argent à la commune d’accueil, malheureusement, cela ne se décrète pas. Ces dernières années, le poids pris par les différentes intercommunalités résulte bien souvent de cette question : comment rendre son territoire attractif à la venue d’investisseurs et de créateurs d’emploi? La solution toute trouvée est d’allier les compétences en ce domaine de plusieurs communes, regroupées sous un EPCI (voir article).

De la vallée de l’Essonne à la capitale essonnienne

Echarcon fait jusqu’à présent partie de la Communauté de Communes du Val d’Essonne (CCVE), dont elle a d’ailleurs participé à la création en 2002. C’est en 1989 que plusieurs communes de la vallée de l’Essonne mettent en place une première coopération intercommunale. A l’époque résume M. Coquidé, « pour contrer le projet du SDAURIF (schéma directeur de la région parisienne) visant à construire 20 000 logements sur le plateau agricole. Echarcon se projette donc vers le sud, ce qui aboutira à la création de la CCVE. Aujourd’hui, la commune semble attirée par de nouveaux horizons. C’est vers Evry que se tourne désormais Echarcon. Rencontré à ce sujet, Robert Coquidé nous explique les raisons qui ont amené la commune à choisir cette option :

« En 2002, Manuel Valls nous a proposé d’entrer avec Evry en agglomération, mais nous n’étions pas remis du traumatisme de 1989 (ndlr : le schéma directeur). Avec la CCVE, nous n’y trouvons pas notre compte. (…) Ici, c’est un lieu on l’on partage les dépenses, pas les recettes. Echarcon a par exemple transferé ses ordures ménagères, pour un coût qui est passé de 50 000 à 65 000 euros en deux ans, aujourd’hui 72 000. (…) Il n’y a pas eu un euro d’investi sur la commune, et le calcul est selon nous de 60 000 euros perdus chaque année. »

Le village voit donc d’un meilleur oeil la possibilité de l’allier avec Evry. Echarcon emet cependant des revendication à l’entrée dans la CAECE. L’aggloméartion prendrait en charge l’éclairage public, la refection de plusieurs routes, et redifinirait le transport collectif et propre. M. Coquidé souhaite en effet l’établissement d’une liaison pour vélo jusque Lisses, et une reflexion au rattachement de sa commune au réseau TICE, ce qui faciliterait les déplacements de ses administrés. L’entrée de la commune dans le giron évryen, si la décision du préfet le permet, donnera-t-elle des idées à Mennecy? La ville de 15 000 habitants semble en effet vouloir se rapprocher à terme de la préfecture, et pourrait ainsi se détourner de son voisin Ballancourt. La rédaction poursuivra le débat dès la rentrée en donnant la parole à tous les acteurs concernés par ces questions.

Lu pour vous sur www.essonneinfo.fr

Historique du dossier http://sh-mennecy.blogspot.com/2010/07/echarcon-sortirait-du-val-dessonne-pour.html

ECHARCON SORTIRAIT DU VAL D'ESSONNE POUR REJOINDRE EVRY CENTRE ESSONNE

La commune d’Echarcon, peuplée de 724 habitants au dernier recensement, se cherche un destin. Robert Coquidé, son maire, a rompu avec la Communauté de Communes du Val d’Essonne (CCVE), il y a peu lors d’un conseil communautaire. En cause, le traitement réservé à sa ville au sein de la structure intercommunale. Selon M. Coquidé, « il n’y a pas un euro investi sur Echarcon ». En demandant son rattachement à l’agglomération d’Evry, le maire espère d’autres rapports que ceux entretenus jusqu’à présent. Ce sont pour des raisons principalement financières que la ville d’Echarcon souhaite sortir de la CCVE.

Le maire d’Echarcon, joint par téléphone, l’assure : « J’ai participé à la création de la CCVE ». Mais aujourd’hui, celui-ci considère que sa ville « a beaucoup perdu » au sein du Val d’Essonne. Il cite ainsi la redistribution de l’argent de l’intercommunalité, précisant que sur 8.7 millions d’euros, sa commune obtient seulement 3 400 euros.

Une décision aux mains de la préfecture.

Du côté de la Communauté de Communes du Val d’Essonne, composée entre autres des villes de Ballancourt, la Ferté-Alais et Mennecy, l’annonce faite de ce possible départ laisse perxplexe. Selon le cabinet du président Imbert, « on ne nous demande pas notre avis » sur cette question. La CCVE semble en effet désapprouver la séparation d’Echarcon, et voit le village comme partie intégrante de sa démarche de territoire : « En terme de profil, Echarcon a toute sa place dans la CCVE, (…), sur son urbanisme, son bassin de vie, elle se retrouve dans une intercommunalité comme la notre », précise la structure.

Echarcon parviendra-t-elle, selon sa volonté, à changer d’intercommunalité? Pour l’heure, c’est à l’Etat, et donc au préfet d’en décider, après avis d’une commission spécialisée. « Nous avons confiance en l’Etat pour travailler sur une logique de térritoire » précise la CCVE. L’agglomération évryenne pourrait donc voir d’ici quelques mois l’entrée d’une nouvelle commune, après l’officialisation hier soir de la venue de Villabé. Si il semble qu’un développement vers le sud de la Communauté d’Agglomération Evry Centre Essonne se précise avec Villabé (lire notre article), rien ne dit que les nombreux terrains disponibles, qui pourraient attirer les investisseurs, entrent dans une cohérence globale de territoire dans cette région. Les réformes concernant les collectivités locales se précisant, l’on se dirigera peut être à terme vers des coopérations plus étroites entre intercommunalités. Echarcon sera alors de fait un lien entre le nord et le sud de la vallée de l’Essonne.

Lu pour vous sur http://www.essonneinfo.fr/

mercredi 19 mai 2010

UMP SUD ESSONNE LE BLOG


DYNAMISER POUR FAIRE GAGNER NOS IDEES

Le site que vous allez découvrir témoigne de la volonté de dynamiser la communication locale de la 2 éme circonscription de l'Essonne pour aller à la rencontre de tous nos concitoyens intéressés par la vie publique.

Ce contact moderne avec tous les habitants de notre circonscription est essentiel , car c´est la défense de leur intérêt qui motive l'action au quotidien de notre Mouvement politique.

C'est aussi l'occasion de faire connaître nos idées, ce blog existe grâce à un travail remarquable des militants du secteur de la Fertais Alais .

Je vous invite à le découvrir en cliquant sur le lien suivant :http://www.ump-sud-essonne.com/

vendredi 14 mai 2010

14 MAI 1610, HENRI IV ETAIT ASSASSINE PAR RAVAILLAC


Il y a 400 ans, Henri IV était assassiné par Ravaillac ! Un grand roi disparaissait, dont l'une des qualités principales était le souci de tolérance ! Tolérance, comme cette caractéristique manque singulièrement, de nos jours, dans les rapports humains !
14 mai 1610, rue de la Ferronnerie (actuel 1er arrondissement - entre Châtelet et le Forum des Halles), il est presque 15 heures. La foule entrave la progression d'un carrosse transportant des gentilshommes et le roi, Henri IV. Dans la confusion, un homme barbu grimpe sur l'une des roues du véhicule.
Le dos royal s'offre à ses yeux : il y enfonce un couteau à deux reprises. Le roi est mort, Ravaillac, régicide, sera écartelé en place de Grève (actuelle place de l'Hôtel de ville) quelques jours plus tard.
Henri IV (roi depuis 21 ans) croise la mort le 14 mai 1610, rue de la Ferronnerie à Paris (1er arr.).Il y a des jours comme ça qui marquent l'Histoire... Des journées banales qui se transforment en points de repères. Le 14 mai 1610, il y a 400 ans, est une date historique. François Ravaillac, gaillard de 32 ans, assassine de sang froid le "bon roi Henri" dans une artère bondée (rue de la Ferronnerie) de la capitale, devant des centaines de témoins.
Pourquoi ce geste ? Les chroniqueurs, les proches du monarque, évoquent d'abord un complot espagnol ou religieux (n'oublions pas la conversion d'Henri au catholicisme).
Pour beaucoup, le meurtrier n'a pas agi seul. Il serait le l'émissaire d'un groupe catholique effrayé par ce roi trop conciliant avec les protestants. A l'issu du procès et de l'écartèlement du supplicié (fin mai 1610), il est finalement reconnu que l'homme a perpétré son geste dans la solitude. Il aurait déclaré (dans sa cellule de la prison de la Conciergerie) avoir été tenté par l'Enfer après des visions. Il ne donnera jamais le moindre indice sur d'éventuels complicités.Stèle toujours visible à l'emplacement même du meurtre. Henri IV est enterré le 1er juillet 1610 en basilique de Saint-Denis. Marie de Médicis prend alors les rênes du royaume, Louis XIII est encore un enfant

mercredi 12 mai 2010

DES VILLAGES AUSSI ETEIGNENT LEURS LAMPADAIRES

Dans l’Essonne, entre 20 et 30 communes coupent leurs éclairages la nuit contre une douzaine il y a cinq ans. Pourquoi éteindre? Pour l’environnement d’abord. Les lampadaires, c’est un jour artificiel qui perturbe la faune, la flore et… les astronomes amateurs car le halo lumineux cache les étoiles. Les extinctions permettent aussi des économies.

En éteignant après minuit, Champcueil espère alléger sa facture d’électricité d’un tiers. Idem à Boutigny. A Bouray-sur-Juine, où les lumières sont éteintes depuis 2008, « on a ramené la facture pour l’éclairage de 20000 € à 12000 € par an », calcule Jean-François Brunelli, adjoint au maire.
Reste une question, soulevée par les opposants aux extinctions, celle de la sécurité. « C’était l’argument des industriels pour vendre de l’éclairage dans les années 1980, rappelle Christophe Martin-Brisset. Mais l’expérience montre que l’extinction nocturne va dans le sens de la sécurité. » Les voitures d’abord ralentissent dans les villages non éclairés. Les groupes qui errent le soir se dispersent à l’extinction des feux. Et il n’y aurait pas plus de vol. « Fracturer une voiture à la lampe de poche, ce n’est pas discret », s’amuse un élu.
Dans les rues de Champcueil, l’extinction des feux semble bien acceptée. « Allumer quand on dort, cela ne sert à rien », estime Emilie. « On va voir à l’usage », relativise une autre passante, prudente. N’empêche, cela surprend quand une silhouette surgit de l’ombre. A l’exemple de ce noctambule, croisé après minuit : « C’est n’importe quoi, grogne-t-il. Comment on fait pour trouver sa maison! »
Le Parisien Benjamin Jérôme 10.05.2010
Une idée d'AGIR ensemble pour Vert-le-Grand
http://agirensemble.over-blog.com/article-vert-le-grand-le-phare-de-quintardville-41375144.html

jeudi 29 avril 2010

GUERRE OUVERTE DANS LE CANTON DE MENNECY

Guerre ouverte entre le député et le maire

Privé de salle, le député UMP Franck Marlin a improvisé une permanence sous les fenêtres du maire de Mennecy ,Xavier Dugoin. Entre ces deux ex-alliés, rien ne va plus.


Un député qui se retrouve à la rue, ce n’est pas commun. C’est pourtant ce qui arrive à Franck Marlin. Le député maire UMP d’Etampes ne peut plus tenir sa permanence parlementaire à l’hôtel de ville de Mennecy. Le maire de la commune, l’ex-patron du conseil général Xavier Dugoin (UMP), lui en interdit l’accès depuis un mois.


Résultat hier matin : Franck Marlin déplie une table sous les fenêtres de la mairie pour accueillir les habitants du secteur. « On ne va pas interdire aux citoyens de rencontrer leur député, c’est une tradition républicaine ! » insiste le député. Réaction de Xavier Dugoin : « Je ne vois pas l’intérêt de lui laisser la salle du conseil municipal, cela fait un an qu’il ne vient pas. Pour moi, Franck Marlin ne pense qu’à serrer des mains mais niveau travail parlementaire, c’est zéro ! Mennecy est la 2e ville de sa circonscription et il n’a jamais obtenu aucunesubvention.»

Un lourd contentieux

Un passif important existe entre les deux hommes. Un fossé qui s’est encore creusé avec les régionales. « Franck Marlin a tout fait pour qu’il n’y ait pas d’élu UMP de Mennecy sur les listes», assure Xavier Dugoin. Selon lui, Jean-Philippe Dugoin, son fils et adjoint aux finances à Mennecy, a été placé en position non éligible (12e) à cause de l’influence du député. De son côté, Marie-Claude Girardeau, adjointe de Franck Marlin à Etampes, a été élue en 7e position… Depuis, le duo ne cesse de se jeter des peaux de banane :Xavier Dugoin a supprimé la permanence de Franck Marlin et a embauché dans sa mairie Virginie Bequet, dissidente UMP au sein... du conseil municipal d’Etampes !De son côté, Franck Marlin—nouveau Président du Siredom, un syndicat d’ordures ménagères — a porté plainte contre X pour faire la lumière sur 225 repas que le syndicat aurait payés à des personnes extérieures au Siredom dans une pizzeria. Indirectement visé, Xavier Dugoin nie en être le bénéficiaire. Le contentieux remonte aux années 1990. Franck Marlin travaille alors au cabinet de Xavier Dugoin au conseil général. Après les cantonales de 1994 et une législative partielle en 1995, les deux hommes se brouillent. Ils se séparent à la suite d’affaires judiciaires qui ont valu à Xavier Dugoin un séjour en prison et à Franck Marlin une peine avec sursis. Les deux ennemis pourraient se croiser rapidement, à l’occasion des sénatoriales de 2011. Xavier Dugoin a annoncé qu’il serait candidat. Franck Marlin serait aussi intéressé. Autre enjeu ? La mairie de Mennecy. Xavier Dugoin verrait bien son fils Jean-Philippe en prendre les rênes. Et pourquoi pas contester la suprématie de Franck Marlin dans «sa» circonscription.
Lu pour vous MATTHIEU COTINAT 29.04.2010 journal le Parisien

dimanche 25 avril 2010

FESTIVAL CISBA VAL D'ESSONNE BALLANCOURT et ITTEVILLE








Le Festival Image Nature et Environnement 2010 du CISBa est ouvert à tous, photographes, diaporamistes, ciné-vidéastes, adultes et jeunes, adhérents d’un club ou individuels.

Cette 2ème édition accueille les scolaires, primaires, collégiens et lycéens, qui concourons, soit au titre d’un groupe d’élèves, soit au titre d’une classe ou d’un établissement. La participation des Jeunes de – 18ans à titre individuel reste possible comme pour l’édition précédente ;
des récompenses pour les Jeunes sont prévues au palmarès.

En catégorie photo, les participants peuvent concourir dans les catégories papier couleur ; Faune, Flore, Paysage, et la catégorie papier N&B.

Le règlement complet et le dossier d’inscription seront disponibles à partir du 15 septembre 2009.
Dépôt des œuvres : 15 mars 2010.

Toutes les informations relatives au festival seront diffusées en temps réel sur le site internet dédié au festival http://festivalscisba.free.fr et sur le site du club organisateur http://clubcisba.free.fr.

Informations auprès du Club ImaGes & Sons CISBa-Val d’Essonne

vendredi 23 avril 2010

YVES JEGO CHARGE DE "RENOVER" LE MANIFESTE DU PARTI RADICAL POUR 2012

PARIS, 21 avril 2010 (AFP) - Yves Jégo, vice-Président du Parti radical, formation associée à l’UMP et Présidée par Jean-Louis Borloo, va s’atteler à la “rénovation” de son manifeste jusqu’à un congrès extraordinaire qui arrêtera en 2011 une stratégie pour 2012, a-t-il annoncé mercredi à l’AFP.
“Jean-Louis Borloo, a-t-il dit, m’a confié le soin d’être l’animateur de la rénovation du manifeste” qui jettera les bases de la “nouvelle plateforme radicale qui peut être un apport majeur pour la majorité présidentielle en 2012″.
“Ensuite se posera la question de savoir s’il faut incarner nous-mêmes les nouvelles valeurs radicales ou s’il faut jouer l’union dès le premier tour”, a-t-il expliqué. Dans la première hypothèse, “c’est évidemment notre Président (Jean-Louis Borloo)” qui porterait les couleurs du Parti radical au premier tour, a précisé M. Jégo.
Un congrès extrordinaire qui se tiendra un an avant la présidentielle “tranchera sur ce point”, selon l’ex secrétaire d’Etat à l’outre-mer.
D’ici là, cet ancien porte-parole de l’UMP, proche de Nicolas Sarkozy, qui a rejoint la formation de M. Borloo en juin 2009 après avoir été écarté du gouvernement Fillon, animera les “ateliers” de la “rénovation” du manifeste radical jusqu’en juin à Marseille, Dijon, Bordeaux, Nantes et Paris.
“Humanisme, écologie et République sont les trois mamelles du radicalisme du XXIème siècle”, selon le Député qui entend travailler sur ce tryptique pour donner forme à un corpus d’idées autour de “l’égalité des chances, la laïcité, le développement durable et l’Europe thème transversal à tous les autres”.
Interrogé sur les ambitions présidentielles du Président du Nouveau centre, Hervé Morin, M. Jégo a été catégorique: “le Parti radical est le plus vieux parti de France et a donc à ce titre l’antériorité sur toutes les autres formations centristes”.
“Il y a là une pépite qui a du sens, une culture et une marque anciennes. C’est ça la force du radicalisme”, a-t-il ajouté. “Et qui mieux que Jean-Louis Borloo peut porter et faire vivre les valeurs écologistes à droite, malgré les calendriers différés sur la taxe carbone, ou la taxe poids-lourds?”, a-t-il encore dit.

dimanche 11 avril 2010

XAVIER DUGOIN TACLE LES PATRONS UMP

Un pavé dans la mare signé… Xavier Dugoin. Le maire de Mennecy a envoyé un courrier aux membres du comité départemental de la fédération UMP de l’Essonne.
Lu pour vous le Parisien du 09-04-2010
Historique d'un dossier
http://sh-mennecy.blogspot.com/2009/05/ump-que-se-passe-t-il-dans-le-canton-de.html

vendredi 9 avril 2010

VIOLENCES SCOLAIRES : LES 5 PREMIERES REPONSES DU GOUVERNEMENT


Rétablir le pacte républicain à l'école


Luc Chatel veut également rompre l'isolement des professeurs et restaurer leur autorité


En conclusion des états généraux de la sécurité à l’école, jeudi 8 avril 2010, le ministre de l’Education nationale, Luc Chatel, a fait part de cinq orientations applicables d’ici la prochaine rentrée scolaire

1) Dès la rentrée 2010, nouvelle politique de formation prenant en compte la gestion des conflits et la prévention de la violence pour l’ensemble des enseignants qu’ils soient étudiants, nouvellement recrutés ou plus aguerris. Dans les établissements les plus exposés des formations seront proposés sur site.

2) Renforcement du plan de sécurisation des établissements scolaires (doublement des effectifs des équipes mobiles de sécurité dans les académies les plus exposées, amplification des partenariats entre l’Education nationale et la Justice, systématisation des discussions avec les collectivités pour accélérer la mise en œuvre de moyens matériels…)

3) Redonner du sens aux sanctions pour mieux faire respecter les règles du vivre ensemble (mise en place d’un système mieux gradué et mieux compris par les élèves, rendre à l’exclusion son caractère exceptionnel, renforcement de la place des travaux d’intérêt général, charte des bonnes pratiques et des règles élémentaires de civilité, respect du principe du contradictoire…)

4) Actions ciblées dans les établissements les plus exposés au travers d’un programme baptisé CLAIR (Collèges et Lycées pour l’Ambition, l’Innovation et la Réussite) : choix des équipes pédagogiques par le chef d’établissement, détermination du projet pédagogique par les équipes d’enseignants…)

5) Mise en place d’une mesure efficace de la violence par une enquête non plus annuelle et nationale mais trimestrielle et départementale

Ces 5 orientations feront l’objet d’un point d’étape en octobre prochain.
Quant aux très nombreuses préconisations formulées lors de ces états généraux, elles seront mises en œuvre dans la concertation via un comité de pilotage chargé de la préparation, du suivi et de l’évaluation.

vendredi 2 avril 2010

MENNECY LE BUDGET VOTE SANS AUGMENTATION

Mennecy,
Le budget de la ville a été voté sans augmentation des taux imposition. Jean-Philippe Dugoin, maire adjoint en charge des finances s'explique dans le journal le Républicain, propos recueillis par Robert Mendibure.

mardi 30 mars 2010

COUAC A LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL D'ESSONNE

Le président de la communauté de commune du Val d'Essonne, Patrick IMBERT, a étè contraint d'avouer le 30 mars en conseil communautaire qu'il avait du annuler les "Rencontres du développement durable du Val d'Essonne" qui devaient avoir lieu les 10 et 11 mars prochains.

Cette manifestation qui devait, aux dires de la communauté de commune acceuillir 15000 visiteurs à Saint-Vrain, connaitra-t'elle le sort de la taxe carbone et être - elle aussi - reportée sine die ? l'avenir le dira....
Lu pour vous sur le site de la CCVE, le communiqué publié par la communauté de communes du Val d'Essonne.
"Report des rencontres du développement durable"

vendredi 19 février 2010

TELLEMENT VRAI ET POURTANT....



La campagne des élections régionales en Ile-de-France bat son plein et, à chaque déplacement sur le terrain, je constate le même écœurement des Français pour la politique.

Nos concitoyens n’en peuvent plus. Ils perçoivent très bien l’impasse dans laquelle est enfermé notre pays tant sur le plan économique que sur celui des valeurs. Délocalisations en rafales, violence à l’école, communautarisme religieux ouvertement assumé - comme par exemple avec la chaîne de restaurants Quick servant de la viande exclusivement halal -, nos compatriotes ont le sentiment que tout « fout le camp ».

Plus que jamais, ils attendent une alternative politique crédible.Voilà pourquoi Debout la République peut représenter un espoir.

Nous sommes les seuls, en effet, à oser remettre en cause l’euro trop cher qui asphyxie les entreprises, pour le remplacer par une monnaie commune laissant revivre les monnaies nationales et s’ajuster les unes par rapport aux autres.

Nous sommes les seuls à demander un protectionnisme sélectif, indispensable si l’on veut garder un peu de force industrielle.

Nous sommes les seuls à vouloir dompter les rapaces bancaires qui étouffent les PME, comme tous les oligopoles qui ont inévitablement pris le pouvoir à la faveur de la libéralisation à marche forcée voulue par Bruxelles.

Nous sommes les seuls, enfin, à oser dire qu’il ne sert à rien de mettre des barbelés autour des établissements scolaires, si l’on n’ose pas remettre vraiment au goût du jour l’exclusion des perturbateurs du système scolaire classique, si l’on n’ose pas rétablir l’autorité de l’institution scolaire, du professeur au proviseur.

Dans cette course de vitesse contre le déclin du pays, il est sûr que les élections régionales, même si elles ne concernent pas directement les problèmes ici soulevés (lesquels dépendent prioritairement du gouvernement), peuvent être l’occasion pour nos concitoyens de dire leur vérité.

Encore faut-il, bien évidemment, que l’abstention soit contenue. Voilà pourquoi, tout doit être fait pour décourager la tentation du renoncement électoral, favorable aux partis du système, et encourager les Français à aller voter en leur âme et conscience.

Lu pour vous Nicolas Dupont-Aignan "la lettre DLR du 19 février 2010"

jeudi 18 février 2010

REGIONALES 2010 L'ESSONNE NE VEUT PLUS ÊTRE LE "GRAND OUBLIE" DE L'ILE DE FRANCE




LONGJUMEAU LE 16 FEVRIER 2010

A Longjumeau, 1 200 personnes ont demandé un changement radical de la politique des transports en Ile-de-France

« 12 ans de présidence socialiste. 70% d’augmentation d’’impôts. Mais pendant tout ce temps pas une seule ligne n’a été créée».

Mardi soir, en lançant dans le théâtre bondé de Longjumeau (Essonne) la réunion publique de soutien à la liste départementale de la majorité présidentielle pour les élections régionales en Ile-de-France , Roger Karoutchi a fait mouche.

Si pour le président du groupe UMP à la région « tous les Franciliens sont égaux devant les galères quotidiennes des transports », il déplore avec Georges Tron, député et président du comité départemental, que l’Essonne soit « le grand oublié de la région ».

Et que plus largement « les 12 millions de Franciliens ont besoin que la région s’occupe d’eux ». « Il faut sauver cette région assoupie », ajuste André Santini.

Réclamant un « plan Marshall » des transports en Ile-de-France « pour donner du temps au citoyen », Nathalie Kosciusko-Morizet, tête de liste pour l’Essonne est rejointe par Valérie Pécresse, tête de liste régionale, qui propose, notamment, l’aménagement de services de proximité dans les gares telles que des crèches, des commerces alimentaires… « S’il y a un train qui ne connaît pas de difficulté, c’est le train de vie du conseil régional », poursuit Xavier Bertrand stigmatisant la « folie fiscale » de la région Ile-de-France.


Avant de mettre en avant les atouts de la liste conduite par Valérie Pécresse : le renouvellement (2/3 de nouveaux candidats), l’unité dès le premier tour et le projet qui s’appuie sur le trépied emploi-sécurité-zéro fiscalité.

Les 12 communes du canton de Mennecy.

Auvernaux, Ballancourt-sur-Essonne, Champcueil, Chevannes, Le Coudray Montceaux, Echarcon, Fontenay-le-Vicomte, Mennecy, Naiville-les-Roches, Ormoy, Vert-le-grand, Vert-le-Petit.

Stéphane HUET Vert-le-Grand

Stéphane HUET Vert-le-Grand
Place de la mairie Vert-le-Grand