vendredi 19 février 2010

TELLEMENT VRAI ET POURTANT....



La campagne des élections régionales en Ile-de-France bat son plein et, à chaque déplacement sur le terrain, je constate le même écœurement des Français pour la politique.

Nos concitoyens n’en peuvent plus. Ils perçoivent très bien l’impasse dans laquelle est enfermé notre pays tant sur le plan économique que sur celui des valeurs. Délocalisations en rafales, violence à l’école, communautarisme religieux ouvertement assumé - comme par exemple avec la chaîne de restaurants Quick servant de la viande exclusivement halal -, nos compatriotes ont le sentiment que tout « fout le camp ».

Plus que jamais, ils attendent une alternative politique crédible.Voilà pourquoi Debout la République peut représenter un espoir.

Nous sommes les seuls, en effet, à oser remettre en cause l’euro trop cher qui asphyxie les entreprises, pour le remplacer par une monnaie commune laissant revivre les monnaies nationales et s’ajuster les unes par rapport aux autres.

Nous sommes les seuls à demander un protectionnisme sélectif, indispensable si l’on veut garder un peu de force industrielle.

Nous sommes les seuls à vouloir dompter les rapaces bancaires qui étouffent les PME, comme tous les oligopoles qui ont inévitablement pris le pouvoir à la faveur de la libéralisation à marche forcée voulue par Bruxelles.

Nous sommes les seuls, enfin, à oser dire qu’il ne sert à rien de mettre des barbelés autour des établissements scolaires, si l’on n’ose pas remettre vraiment au goût du jour l’exclusion des perturbateurs du système scolaire classique, si l’on n’ose pas rétablir l’autorité de l’institution scolaire, du professeur au proviseur.

Dans cette course de vitesse contre le déclin du pays, il est sûr que les élections régionales, même si elles ne concernent pas directement les problèmes ici soulevés (lesquels dépendent prioritairement du gouvernement), peuvent être l’occasion pour nos concitoyens de dire leur vérité.

Encore faut-il, bien évidemment, que l’abstention soit contenue. Voilà pourquoi, tout doit être fait pour décourager la tentation du renoncement électoral, favorable aux partis du système, et encourager les Français à aller voter en leur âme et conscience.

Lu pour vous Nicolas Dupont-Aignan "la lettre DLR du 19 février 2010"

jeudi 18 février 2010

REGIONALES 2010 L'ESSONNE NE VEUT PLUS ÊTRE LE "GRAND OUBLIE" DE L'ILE DE FRANCE




LONGJUMEAU LE 16 FEVRIER 2010

A Longjumeau, 1 200 personnes ont demandé un changement radical de la politique des transports en Ile-de-France

« 12 ans de présidence socialiste. 70% d’augmentation d’’impôts. Mais pendant tout ce temps pas une seule ligne n’a été créée».

Mardi soir, en lançant dans le théâtre bondé de Longjumeau (Essonne) la réunion publique de soutien à la liste départementale de la majorité présidentielle pour les élections régionales en Ile-de-France , Roger Karoutchi a fait mouche.

Si pour le président du groupe UMP à la région « tous les Franciliens sont égaux devant les galères quotidiennes des transports », il déplore avec Georges Tron, député et président du comité départemental, que l’Essonne soit « le grand oublié de la région ».

Et que plus largement « les 12 millions de Franciliens ont besoin que la région s’occupe d’eux ». « Il faut sauver cette région assoupie », ajuste André Santini.

Réclamant un « plan Marshall » des transports en Ile-de-France « pour donner du temps au citoyen », Nathalie Kosciusko-Morizet, tête de liste pour l’Essonne est rejointe par Valérie Pécresse, tête de liste régionale, qui propose, notamment, l’aménagement de services de proximité dans les gares telles que des crèches, des commerces alimentaires… « S’il y a un train qui ne connaît pas de difficulté, c’est le train de vie du conseil régional », poursuit Xavier Bertrand stigmatisant la « folie fiscale » de la région Ile-de-France.


Avant de mettre en avant les atouts de la liste conduite par Valérie Pécresse : le renouvellement (2/3 de nouveaux candidats), l’unité dès le premier tour et le projet qui s’appuie sur le trépied emploi-sécurité-zéro fiscalité.

mercredi 3 février 2010

LES BASSES OEUVRES DU MAIRE DE VERT-LE-GRAND


Les basses œuvres du maire de Vert-le-Grand
Des preuves vérifiables !
A la demande de l’Association municipale « AGIR », par lettre en date du 19 mai, Monsieur le Préfet de l’Essonne somme le maire de Vert-le-Grand d’installer dans sa commune, conformément à l’article L-581-13 du code de l’environnement, un panneau d’affichage pour les associations à caractère politique.
Après s’être livré à toute une série d’attaques contre son opposition, au mépris de l’esprit républicain et de la démocratie à savoir :
1) Modification du règlement d’utilisation des salles communales, pour empêcher l’Association AGIR de se réunir gratuitement, comme c’était la coutume depuis toujours.
2) Refus de donner une petite place à l’opposition dans le journal municipale Horizon, organe de propagande du Maire et de son équipe. Journal pourtant payé par tous les contribuables de la commune.
3) Attaque en justice du blog AGIR, demandant sa fermeture. Le Maire de Vert-le-Grand n’aime pas que l’on critique sa politique.
4) Aujourd’hui par haine, méchanceté, rancœur vis -à- vie de l’Association AGIR, par bassesse d’esprit et tout compte fait par abus de pouvoir, il fait poser (lettre du Préfet) le fameux panneau d’affichage contre le mur de façade de la propriété du Président d’AGIR dans un lieu isolé de la commune ou personne ne passe.
Tous les démocrates, tous les républicains, de gauche, de droite ou du centre sont révoltés par une telle attitude, d’une telle mesquinerie d’un maire qui devrait en toutes circonstances chercher l’entente cordiale entre les citoyens d’une commune au –delà des clivages politique.
Non, Jean Claude QUINTARD ne sera jamais un rassembleur. L’équipe municipale actuelle essaie par tous les moyens de construire un mur, pour séparer les hommes et les idées.
Vivement que se lève à Vert-le-Grand une nouvelle génération de vrais démocrates, ayant à cœur de rassembler tous les Grandvertois et de retrouver la convivialité disparus depuis mars 2008.
Lu pour vous sur la : Tribune socialiste Vert-le-Grand, Vert-le-Petit janvier 2010

Les 12 communes du canton de Mennecy.

Auvernaux, Ballancourt-sur-Essonne, Champcueil, Chevannes, Le Coudray Montceaux, Echarcon, Fontenay-le-Vicomte, Mennecy, Naiville-les-Roches, Ormoy, Vert-le-grand, Vert-le-Petit.

Stéphane HUET Vert-le-Grand

Stéphane HUET Vert-le-Grand
Place de la mairie Vert-le-Grand